Éphémérité
Tu vécus longtemps en répugnant animal
Urticant et rempli d’un besoin venal
Tu te prélassais et , tout les jours te goinfrais
Détruisant à jamais, tous ces végétaux frais
Ainsi, pris par les remord tu t’es enfermé
Dans le tendre confort, de la chrysalide
Douce des fausses convictions, si solides
Qui te permettent de dormir a poing fermés
Cesse donc de te refouler dans ton cocon !
Ne veux-tu pas voir le soleil ?
Libère toi Prend ton envole !
Ton âme belle car folle
Alla jusqu’à l’astre vermeil
Le feu acheva ta minute papillon
Aresy